From abroad - In Sweden, transparency without obstruction

Education, healthcare, gender equality… The “Swedish Model” is used as a point of comparison with the French in many regards, often at the expense of the latter. But what about its political life? Lou Marilier (prom 15), correspondent in Stockholm, takes us on a fascinating journey into what this model means in terms of transparency and exemplarity, and what has helped keep it alive and well.

Vidéo - La campagne présidentielle vue de l'étranger

Quel regard la presse étrangère porte-t-elle sur les rebondissements politiques qui ont secoué la France ces derniers mois ? La campagne française est-elle très suivie à l'international ? Émile est allé interviewer trois journalistes étrangers pour connaître leur point de vue sur ce rendez-vous électoral. Le premier est Américain, correspondant à Paris pour plusieurs médias, dont le New York Times, la radio publique américaine et pour la Deutsche Welle. Le second vit à Dubaï, où il est rédacteur en chef pour la chaîne de télévision Al Arabiya. La troisième, Franco-algérienne, est correspondante à Alger pour plusieurs médias et cofondatrice d'un web-magazine féminin.

Entretien croisé - Le storytelling fait-il une élection présidentielle ?

Pour décrypter la campagne présidentielle qui s'achève, Émile a réuni deux professionnels de la communication. Franck Louvrier, président de Publicis Events, a été pendant plus d’une décennie le conseiller en communication de Nicolas Sarkozy. Gilles Finchelstein, directeur des études de Havas Worldwide, a été, entre autres, la plume et un proche collaborateur de Dominique Strauss-Kahn.

Le Grand Débat - L'identité, un enjeu éminemment politique ?

L’identité est un thème désormais omniprésent dans les débats politiques. Propulsée sur le devant de la scène par Nicolas Sarkozy, la réflexion sur « l’identité nationale » semble être aujourd’hui le pré carré de la droite, voire de l’extrême-droite ; il s’agit pourtant d’une notion apparue d’abord à gauche. Émile a proposé à Natacha Polony, François de Rugy et Vincent Martigny de débattre de cette question. 

Portrait - Gaspard Gantzer, le protecteur

D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.

Portrait - Bernard Rullier, le fidèle

D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.

Portrait - Constance Rivière, la surdouée

D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.

Portrait - Thomas Mélonio, l'Africain

D’eux, on ne sait pas grand-chose finalement. Leur rôle est de conseiller, dans l’ombre, le président de la République. Leurs attributions évoluent souvent dans le temps, confrontées à la dure et éprouvante réalité politique et présidentielle. Émile dresse le portrait de quatre conseillers, qui sont restés fidèles à François Hollande jusqu’à la fin de son mandat, et qui ont eu des dossiers importants à gérer tout au long de ce quinquennat. Parler d’eux, c’est une façon de rentrer dans le cercle restreint du pouvoir élyséen.

L'infiltré - Seul au volant

A moins de dix jours du premier tour du scrutin, les écarts se resserrent entre les quatre principaux candidats dans les intentions de vote. Si l'on tient compte de la marge d'erreur, impossible pour les observateurs de déterminer les finalistes. Situation inédite et déroutante que nous détailles notre infiltré.

Analyse - La présidentielle de 2017 : une élection par défaut ?

L'élection présidentielle se présente sous le signe de l'indécision et de la fragilité de l'électorat. Luc Rouban, directeur de recherches CNRS au CEVIPOF, considère même la présidentielle 2017 comme une élection par défaut. Il détaille sa thèse, chiffres à l'appui, dans un article initialement publié sur le site The Conversation. 

Analyse - Les "primo-votants" de 2017, entre défiance et recomposition politique

Ils ont l'occasion de voter pour la première fois, mais se déplaceront-ils jusqu'aux urnes ? Pour qui envisagent-ils de voter ? Que pensent-ils de la scène politique française ? Anne Muxel, directrice de recherches CNRS en science politique au CEVIPOF, nous offre une photographie détaillée des "primo-votants" de 2017, initialement publiée sur le site The conversation.

Les meilleurs tweets - La remontée de Mélenchon

Jean-Luc Mélenchon a fait une remontée importante dans les sondages depuis sa participation au premier débat entre les cinq candidats favoris à la présidentielle. Réactions et critiques à l'encontre de sa personnalité ou de son programme fusent de toute part. Qu'en pensent les Sciences Po sur les réseaux sociaux ?

Tribune - La politique est trop individualiste à droite, et Macron en profite !

Anne-Sophie Beauvais, directrice générale de Sciences Po Alumni et ancienne conseillère en cabinet ministériel, s'interroge dans cette tribune sur les raisons du ralliement d'une cinquantaine de conseillers de droite à Macron. Selon elle, leur démarche renvoie aussi à un problème affectant leur famille politique d’origine : le parti majoritaire de droite (hier l’UMP, aujourd’hui Les Républicains), bien plus encore que le parti socialiste, ne sait pas promouvoir en politique de jeunes générations.