Cette semaine, les sept groupes politiques enregistrés à l'Assemblée nationale ont chacun élu leur président. Parmi eux, deux anciens de la rue Saint-Guillaume : Christian Jacob, président du groupe Les Républicains, et Marc Fesneau président du groupe MoDem. Emile revient sur leurs parcours.
Cette semaine l'infiltré se demande à quel moment cette équipe gouvernementale qui ne cesse de se mettre en place, couacs après couacs, va commencer à s'attaquer réellement aux défis qui l'attendent?
Annoncé comme un "remaniement technique" à la suite des élections, les changements sont finalement plus nombreux que prévus. Quels Sciences Po ont conservé leur poste de ministre ou de secrétaire d'État ? Qui sont les nouveaux venus ? Émile fait le point.
Enrico Letta, ancien Président du conseil italien et doyen de l’école des Affaires internationales de Sciences Po, analyse la politique européenne du nouveau président français. Dans un entretien accordé à Ouest France, il assure qu'Emmanuel "Macron a pris un leadership potentiel sur l’Europe, comme on ne le voyait pas depuis Mitterrand", mais "il doit maintenant être à la hauteur".
Jean Garrigues, professeur d'histoire à Sciences Po et à l'université d'Orléans, livre son analyse du premier remaniement du gouvernement Philippe. Ce spécialiste d'histoire politique contemporaine explique dans une interview publiée dans La Tribune de Genève que "le départ des trois ministres MoDem se lit comme l’illustration du climat moralisateur d’aujourd’hui".
Malgré la tendance au « dégagisme » observée lors de l'élection présidentielle puis des législatives, quelques ténors politiques ont réussi à garder leur siège à l’Assemblée, tels qu’Eric Woerth ou Stéphane Le Foll, mais aussi d’autres personnalités moins médiatiques. Émile dresse le portrait de deux d’entre eux, passés par Sciences Po.
Après les élections législatives, le premier gouvernement Philippe a été remanié. C'était attendu, mais la surprise vient de la démission des ministres étiquetés MoDem : Sylvie Goulard le 20 juin, puis François Bayrou et Murielle de Sarnez le 21 juin, à quelques heures de l'annonce officielle de la composition du nouveau gouvernement. Tour d'horizon des réactions et commentaires des Sciences Po...
Sur les 577 députés élus lors de ces élections législatives, 424 le sont pour la première fois. Parmi eux, de nombreux Sciences Po. Ce serait trop long de dresser le portrait de chacun d’entre eux, mais Émile vous propose de découvrir le parcours de trois alumni qui vont faire leurs premiers pas à l’Assemblée nationale.
Cette semaine l'infiltré s'interroge, avec un certain cynisme, sur le "renouvellement de la vie politique", tant loué ces dernières semaines. Il revient aussi sur le naufrage du PS et sur les conséquences que cela va entraîner pour l'avenir de Solférino et des permanents politiques qui y travaillent...
tout juste 18 ans, Morgane Guerreau a été la plus jeune candidate de France aux élections législatives 2017. Avec sa suppléante Lise Lécuyer, l'étudiante en première année à Sciences Po s'est présentée dans la 4ème circonscription du Val-de-Marne (94), sous l'étiquette "Allons enfants". Pour Emile, elles reviennent toutes deux sur cette première expérience politique...
Chacun d'entre eux a voté dans une circonscription différente en région parisienne. Quatre étudiants de Sciences Po livrent leurs impressions des résultats de ce premier tour des élections législatives 2017.
Martial Foucault, politologue et directeur du Cevipof de Sciences Po, était invité sur France Inter au lendemain du premier tour des élections législatives pour analyser les résultats. Morceaux choisis de son intervention.
Arrivée largement en tête du premier tour des législatives avec 32%, La République en Marche a réalisé un score encore meilleur que celui d'Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle. Seule ombre au tableau, le taux record d'abstention : 51%. Comment ont réagi Sciences Po ? La réponse en 10 tweets.
Le premier tour des élections législatives s’est tenu les 3 et 4 juin pour les Français établis à l'étranger. S’ils se sont massivement prononcés en faveur de la "République En Marche!", le taux de participation n’était que de 19.1%. Émile a demandé au sondeur Emmanuel Rivière (promo 92), directeur général de Kantar Public, d’analyser ces résultats.
Juste avant d’aller glisser votre enveloppe dans l’urne dimanche prochain, Émile vous propose un petit voyage dans le temps. Le Cevipof et la bibliothèque de Sciences Po ont numérisé et mis en ligne les professions de foi d’un grand nombre de candidats aux législatives sous la Ve République. L’occasion de relire les mots du général de Gaulle, de Georges Pompidou ou encore de François Mitterrand…
Un groupe de députés socialistes vit ses derniers instants à l'Assemblée nationale, avant le premier tour des élections législatives. Notre infiltré nous raconte ces moments où se mêlent souvenirs politiques, nostalgie et ambiance de fin de règne...
Le Cevipof a dévoilé début juin les résultats de sa dernière vague d'enquête consacrée aux élections législatives. À combien s'élève l'indice de participation ? Quelle est la composition attendue à l'Assemblée ? Tour d'horizon des enseignements de ce sondage.
